Dans les forêts de la montagne tarnaise, que la pluie a boudées en cet automne, les sols sont secs et les champignons fort rares ! Aussi fallait-il être persévérants pour espérer dénicher quelques chapeaux trop esseulés sous d'épaisses couches de feuilles.
D'un jour à l'autre les conditions de cueillette étaient totalement différentes, d'où la nécessité de se trouver au bon endroit au bon moment, et sous réserve encore d'éviter la foule des chercheurs. Bilan : des paniers bien modestes pour une saison 2010 qui sera vite oubliée !